Hello vous!
Un grand merci à Marine Tassaba (elle va me tuer quand elle va voir ce pseudo), de m’avoir fait participer à son marathon d’expressions illustrées. Je vous encourage vivement à y participer!
Pour ma participation, j’ai opté pour un passage biblique. Proverbes 5 : 18-20
« Réjoui-toi de la femme de ta jeunesse, biche des amours et gazelle pleine de grâce ; que ses seins t’enivrent en tout temps ; sois continuellement épris de son amour. Et pourquoi mon fils serais tu épris d’une étrangère et embrasserais-tu les seins de l’étrangère ? ».
Juste une pensée pour ces Négresse noires, blanches, jaunes, café au lait. Jadis « biches des amours » et « gazelles pleine de grâce ». Ces beautés vierges et gracieuses à qui des hommes ont fait miroiter un amour éternel, un amour grand « A », lorsqu’ils sortiraient de la misère qui les étreignait tel un oiseau pris dans les filets de l’oiseleur…
Ces beautés fatales dont la fraicheur, la douceur et la chaleur envoutante, faisaient l’objet de poèmes enchanteurs et des cantiques les plus ensorcelants. Suscitant dans leurs entrailles, un cocktail d’émotions aussi complexes qu’inexprimables.
Ces lionnes blessées dont les charmes, naguère irrésistibles, n’opèreraient plus, ne produiraient plus l’ivresse d’antan et qui sont foulées aux pieds comme la boue des rues ! Que voulez-vous ? La frénésie et l’enchantement sont ailleurs…
Ces « chépaquoi » au glorieux passé, dont la plastique rivaliserait difficilement avec celle des forces nouvelles. « Etrangères », au sex-appeal indomptable.
Elles sont beaucoup plus jeunes, plus belles, plus enivrantes et par ricochet, nouvelles biches à chérir. A posséder dans tous les sens, dans tous les coins et recoins. Encoignures et écoinçons. Sans oublier qu’il faut les explorer dans les moindres détails et dans toutes les positions, à la recherche du nectar, ce breuvage céleste oh combien délicieux !(Hey je m’égare…Désolée ! Quand il s’agit du nectar, je m’oublie…).
Bien que l’Ecclésiaste ait déclaré : « Il n y a rien de nouveau sous les cieux », j’en suis toujours médusée.
Comme une innocente, une simple d’esprit, me demandant encore pourquoi un homme ne peut tout simplement pas aimer UNE femme ? LA femme de sa jeunesse ? Celle qui lui a sacrifié ses plus belles années ?
Shalom !
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